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Afrique : Ecobank renouvelle son partenariat avec le Fonds mondial de Lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme
12 Octobre 2016
Afrique-Santé-Partenariat Ecobank- Fonds mondial de lutte contre le Sida, la Tuberculose et le Paludisme
LIBREVILLE, 12 octobre (Infosplusgabon) – Ecobank Transnational Incorporated (Ecobank.com), société mère de la principale institution financière panafricaine, Ecobank Group, a renouvelé, par le biais de sa fondation, son partenariat avec le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme pour une nouvelle période de trois ans, rapporte un communiqué de presse parvenu à la rédaction d’ Infosplusgabon.
Lequel communiqué souligne que « la relation entre les deux organisations a débuté en 2011, et le nouvel accord officialise le soutien d’Ecobank en faveur du travail du Fonds mondial en Afrique »
L’assistance triée sur le volet présente à la cérémonie de signature qui s’est déroulée le 16 septembre 2016 à Montréal, au Canada, était composée de chefs d’entreprises et d’experts en développement. Mme Julie Essiam, directrice générale de la Fondation Ecobank, a mené sa délégation à l’événement, « Changer l’Afrique : favoriser la croissance par le biais du secteur privé », qui a eu lieu en marge de la Cinquième conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial.
Conformément aux termes de l’accord, la Fondation Ecobank continuera de travailler avec le Fonds mondial pour que le partenariat aboutisse au développement d’un engagement et d’une plateforme de promotion pour les organisations et les individus qui partagent un même objectif : accélérer la transformation de l’Afrique.
Ade Ayeyemi, PDG d’Ecobank Group, s’est engagé à fournir 3 millions de dollars lors de la Cinquième conférence de reconstitution des ressources du Fonds mondial. Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau a accueilli l’événement auquel ont participé des chefs d’État, des représentants du gouvernement et des centaines de dirigeants du secteur privé et du secteur du développement du monde entier. La cinquième reconstitution des ressources a permis de rassembler près de 12,9 milliards de dollars, dans le but de sauver plus de 8 millions de vies humaines.
Il a déclaré : « Notre travail en tant que banquiers est de construire l’infrastructure technique permettant d’intégrer des dizaines de millions d’africains à un système financier plus formel. Les pères fondateurs d’Ecobank ont créé une banque panafricaine afin de soutenir la transformation de l’Afrique. Nous sommes heureux de renouveler notre partenariat fructueux avec le Fonds mondial. Je suis convaincu que nous venons de franchir une étape supplémentaire vers une Afrique plus prospère. »
Par le biais de sa Fondation, Ecobank continuera de jouer un rôle de premier plan avec le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme sur le continent africain.
Julie Essiam a signé l’accord de renouvellement du partenariat entre les deux institutions avec Mark Dybul, directeur exécutif du Fonds mondial. Elle a déclaré : « La Fondation Ecobank est ravie de partager ce moment historique avec le Fonds mondial. Notre tâche est de créer une « Afrique en croissance » et un continent prospère. Il est important que le secteur privé collabore afin de garantir que nous utilisions nos plateformes pour débloquer les fonds qui permettront de donner lieu à un progrès durable et à la prospérité de l’Afrique. »
Les programmes soutenus par le partenariat du Fonds mondial ont permis à 9,2 millions de personnes de bénéficier d’un traitement antirétroviral pour le VIH, à 15,1 millions de personnes de bénéficier d’un traitement contre la tuberculose et ont distribué 659 millions de moustiquaires afin de protéger les familles contre le paludisme.
Rappelons que le Fonds mondial est une organisation destinée à accélérer la fin des épidémies de VIH/sida, de tuberculose et de paludisme. À titre de partenariat entre gouvernements, société civile, secteur privé et individus touchés par les maladies, le Fonds mondial mobilise et investit près de 4 milliards de dollars par an pour soutenir les programmes dirigés par des experts locaux dans plus de 100 pays et prend en charge la réalisation des objectifs du développement durable adoptés par les Nations Unies.
FIN/INFOSPLUSGABON/NIO/GABON2016
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